Chaque jour, alors que je suis assis à mon bureau, mélangeant tous les papiers pour faire croire que j’ai réellement un rôle important dans le maintien de l’entreprise, je jette un coup d’œil à toi, ma secrétaire particulière. Tu es toujours habillée de façon si sexy. Classe et sexy. De mon point d’observation, je peux te regarder travailler, toujours aussi professionnelle. Ce que j’aime vraiment, c’est la façon dont tu mets en valeur tes longues jambes. Je te regarde croiser tes jambes, parfois ta jupe poussée au-dessus de tes hauts de bas. Je peux même entendre le sifflement de tes nylons lorsque tu croises tes jambes.
Je pourrais rester assise pendant des heures à contempler tes jambes et à voir tes pieds dans les escarpins à talons hauts. OH, et quand tu fais pendre ta chaussure de tes orteils, je bande rageusement ! Parfois, c’est gênant, et je dois souvent m’asseoir dans mon bureau pour retrouver mon calme avant de sortir pour te parler.
Rassemblant quelques lettres pour toi, je m’approche de ton bureau. « Anne, pourrais-tu envoyer ces lettres pour moi ? » Je ne peux pas empêcher mes yeux de regarder tes jambes de haut en bas, et mon esprit fantasme sur le fait de descendre jusqu’à tes pieds et de faire l’amour à tes chaussures et à tes pieds. Sentant une chaleur dans mon aine, je me rends compte qu’une bosse dans mon pantalon pourrait être très visible. Je te remets rapidement les lettres et me retourne pour m’éloigner.
***
Tu me tends les lettres et je vois que tes yeux sont rivés sur mes jambes. J’en suis heureuse car j’étais perdue dans un rêve éveillé lorsque tu es passée devant moi. J’avais essayé d’imaginer à quoi ressemblerait ta queue. Parfois, je me perds en pensant à ça, et avant que je puisse me gronder et essayer de me concentrer, tu t’avances. J’ai dû me transformer en un profond rougissement mais heureusement, tu n’as pas remarqué.
J’ai remarqué comment tu me regardes, et j’aime ça, alors depuis des semaines, je mets un point d’honneur à porter les talons les plus hauts que je peux porter sans trébucher. Tu me remets les papiers et tu pars. Je remarque ta bosse et ne peux m’empêcher de pousser un profond soupir en revenant sur tes pas. Je vérifie mais je suis sûre que tu ne peux pas me voir. Je déplace mon pied droit le long de ma jambe gauche en imaginant que c’est ton toucher. J’imagine laisser mon pied sensuel glisser sur ton bourrelet. Je ne peux pas me débarrasser de cette pensée et je sens que je deviens humide.
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Je retourne à mon bureau, l’image de tes belles jambes et de tes pieds sexy brûlée dans mon esprit. Je me rassieds lentement sur mon siège, mes pensées revenant toujours à toi. Je lutte contre la tentation de te déverser mes tripes. « Mais, et si elle porte plainte pour harcèlement sexuel ? Et si elle est vraiment aussi sexy qu’elle en a l’air ? Suis-je sur le point d’avoir un terrible problème juridique ou une expérience sexuelle incroyablement incroyable ? Est-ce que tout cela en vaut la peine ? » Je deviens presque folle en réfléchissant aux possibilités. Je prends finalement une décision.
« Anne, pourrais-tu venir dans mon bureau un moment ? J’ai besoin que tu prennes quelques notes pour moi. » Mon cœur bat la chamade lorsque je t’entends te lever de ton bureau et te diriger vers mon bureau. Le claquement de tes talons sur le sol en marbre est si érotique, et je me sens stupide d’être excitée par une telle chose. Je te regarde avec avidité alors que tu t’approches. Je fais un geste vers le siège en face de mon bureau. « S’il te plaît, ferme et verrouille la porte, et prends un siège. » Je bégaie. « J’ai quelque chose à te dire, et j’espère que tu ne le prendras pas mal. »
Je prends un moment pour admirer ta beauté et ton côté sexy, et je dois presque me gifler pour revenir à la réalité. Ma gorge se serre et je commence à ressentir un vertige. C’est un vertige que je ressentais au lycée lorsque je demandais un rendez-vous.
Je te dis : « Anne, je dois avouer que je n’ai vraiment pas de travail à te confier et je m’excuse de te demander de rester après que tous les autres soient rentrés chez eux. Je dois aussi avouer que je te trouve très attirante. Je dois avouer que j’ai même des fantasmes sexuels à ton sujet. Mon point faible est une femme qui aime porter des nylons et des talons. Et, eh bien, Anne, la façon dont tu t’habilles fait qu’il m’est très difficile de me concentrer. Tout ce que je semble faire toute la journée, c’est fantasmer sur le fait de m’agenouiller à tes pieds et de prendre mon pied sexuellement. Je sais que tu peux être offensée en entendant cela, mais mes intentions ne sont pas de t’insulter. »
Sentant un peu un fardeau enlevé de mes épaules par cette confession, je me sens un peu soulagée, mais maintenant mon cœur bat la chamade dans l’attente de ce que tu pourrais répondre ou faire. Incontrôlable, je m’approche de toi et embrasse doucement ton cou, mes mains parcourant ton dos. Pendant que je t’embrasse, je jette un autre coup d’œil à tes pieds et halète doucement en voyant tes talons à lanières de cheville. Je sens la chaleur se précipiter dans mon aine et la sensation indiscutable que ma queue durcit. À présent, je réalise que je me suis engagé, pour le meilleur ou pour le pire, et que mes pulsions sexuelles contrôlent mes actions. Des flashs de toi en colère contre moi traversent mon cerveau, mais ils sont dépassés par mon désir de faire l’amour avec toi.
***
Avec un picotement de soulagement, je réalise que tu ne vas pas me renvoyer. J’entends tes mots et tes confessions et j’ai soudain l’impression que tes mots ont attisé un feu au fond de mes tripes. Tu t’approches de moi et embrasse mon cou et, comme une secousse, j’ai l’impression que tu as ouvert les vannes. Je suis tellement mouillée que pendant une seconde, j’ai peur d’avoir fait pipi. Je gémis doucement et d’un coup d’œil je vois une bosse dans ton pantalon. Je me raidis en gémissant et j’arrive à dire « Et la porte ? ».
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Rendu attentif par ta question, je me dirige rapidement vers la porte, la ferme et la verrouille. Je reviens vers toi, toujours assise de façon si sexy, tes jambes galbées croisées. Je me penche vers toi et t’embrasse passionnément sur les lèvres, ma langue plongeant profondément dans ta bouche. Ma langue cherche la tienne. Je laisse mes mains dériver vers le bas, vers ta poitrine et commence à caresser tes seins à travers ton chemisier en soie blanche. Ne s’arrêtant que de temps en temps pour prendre une rapide inspiration, mes doigts commencent à déboutonner ton chemisier. À mesure que chaque bouton est détaché, je tire doucement ton chemisier jusqu’à ce qu’il soit plus qu’à moitié ouvert. Mais suffisamment ouvert pour que je puisse embrasser ton cou et descendre jusqu’à ta peau nue au-dessus du soutien-gorge en dentelle partiellement exposé.
« Oh, Anne, tu me rends si excité ! Ma bite est si dure ! » Je gémis en continuant à enfoncer mon visage dans ton décolleté exposé. Maintenant à genoux, mon visage est à hauteur de ta poitrine. Mes mains descendent jusqu’à tes jambes et caressent tes jambes couvertes de nylon. Oooohhhhhh … la douceur des nylons sur tes belles jambes est si sensuelle. Je caresse tes mollets, puis déplace mes mains vers le bas jusqu’à tes chevilles. Je passe ma main sur ta cheville, en sentant la douceur des nylons et la rugosité de la bride de cheville de tes chaussures. OOoooooooooohhhhhh !
Je ferme les yeux et laisse ma luxure s’emparer de moi. J’entends mes nylons bruisser lorsque tes mains glissent vers le bas et j’ai l’impression qu’un million de petits feux brûlent sur ma peau. Je ne peux que gémir et lorsque j’ouvre les yeux un instant, je vois la taille de la bosse dans ton pantalon et une vague de désir me frappe à nouveau. Mes seins ont mal au toucher et mes tétons ont l’impression qu’ils vont déchirer mon soutien-gorge d’une seconde à l’autre… Je ne peux plus parler….
Je continue à caresser tes chevilles et je passe ma main sur ta chaussure, faisant glisser mes doigts sensuellement sur le talon fin. MMMmmmmm… tu m’excites tellement, et je ne sais pas par où commencer sur ton corps pour me faire plaisir ! Je tire ton chemisier des confins de la taille de ta jupe et le déboutonne entièrement. Ta poitrine se soulève d’excitation, tes seins semblent réclamer de l’attention. Toujours à genoux devant toi, je lève la main et tire tes seins vers le haut et hors des bonnets de ton soutien-gorge.
Je place ma bouche ouverte et avide sur ton sein droit et commence à le sucer, tirant ma tête en arrière lorsque j’atteins le mamelon. Ma langue tourbillonne autour du téton, sentant son érection. Mes mains redescendent ensuite vers tes jambes. Je remonte lentement l’ourlet de ta jupe, presque jusqu’à ta taille. Je glisse ma main entre tes jambes légèrement ouvertes et caresse l’intérieur de tes cuisses à travers les nylons. AAAaaaaa….Cela fait tellement de bien de te sentir ! « Anne, » je dis d’une voix calme mais rauque, « tu as été une très bonne employée pour moi. Tu as toujours fait du bon travail pour moi. Maintenant, c’est à ton tour de me dire comment te faire plaisir. »
J’ai failli jouir en sentant ta main se poser plus haut sur mes cuisses ! Je remonte ma jupe et d’une voix rauque je te demande si tu es prête à tout….. Je vois que tu acquiesces et mon pied commence à toucher le poteau dans ton pantalon. J’essaie d’attraper le bout de ta queue entre les orteils et la semelle de mon talon et je parviens enfin à gérer… pas je te regarde dans les yeux et te dis… « n’ouvre pas ta braguette… et…. souffle sur ma chatte à travers mon collant en nylon »….. J’écarte mes jambes aussi loin que je peux sans perdre ta queue et je ferme les yeux…..
Je gémis d’extase totale lorsque ton pied touche ma queue dure à travers mon pantalon. « AAAaaaaa….Anne, j’adore ton pied contre ma queue. J’en rêve tous les jours, et c’est encore mieux que ce que j’avais imaginé ! ». Je me rapproche de toi pour que ton pied puisse appuyer plus fort contre ma queue. Je déplace ma tête entre tes jambes ouvertes et je sens le collant frotter contre mon visage. OOOHhhhhh… c’est si doux… N’ayant pas besoin qu’on me le demande une deuxième fois, je me rapproche encore plus pour que mon visage soit enfoui dans ton entrejambe.
J’inspire profondément en enfouissant mon nez dans l’entrejambe du collant. MMMmmmmmm….Même à travers ton collant, je détecte l’odeur inimitable d’une chatte mouillée. En serrant mon visage contre l’entrejambe, je commence à prendre de grandes inspirations. Je suis tellement excitée par toi que ma respiration est lourde et un peu rapide. Je sais que tu dois pouvoir sentir ma respiration sur ta chatte douce et humide. « Oh, Anne ! J’ai tellement envie de te faire plaisir sexuellement ! Dis-moi encore comment je peux te satisfaire. »
Je suis frénétique pour ton toucher maintenant. Je sens ton souffle rauque à travers le tissu humide et je me déplace jusqu’au bord de la chait et tire le tuyau en le serrant. Je suis tellement mouillée que le nylon colle immédiatement à ma culotte et je glisse une main dessous pour retirer la culotte humide. Je libère ma chatte et, presque comme une cascade, mon jus mouille le nylon. Les lèvres de ma chatte sont maintenant ouvertes sur le nylon pour toi tandis que je sors à nouveau ma main et suce mes doigts qui sont couverts de mon délicieux jus. Je remue ta queue entre le tissu de ton pantalon de costume, mon pied et la semelle de mes talons et je chuchote… « oh Ed… lèche ma chatte à travers mes nylons et fais-moi jouir ! …. ».
Je serre mon visage plus fort contre ton entrejambe, et je peux maintenant non seulement sentir l’odeur de ta chatte parfumée, mais je sens l’humidité humidifier ton collant. Ma langue effleure le tissu en nylon et j’obtiens un petit échantillon du goût de ton jus sexuel. Cela ne fait qu’aiguiser mon appétit, et je désire encore plus de jus. Poussé par le désir, j’ouvre encore plus ma bouche, croquant ta chatte à travers ton collant. Pendant que ma bouche viole ta chatte, j’enfonce mon visage dans toi en rythme, comme pour te FUCKER avec mon visage. Je place mes mains sous tes joues de cul et te tire fermement contre mon visage. MMMmmmmmmm….J’adore manger ta chatte à travers ton tuyau.
Pendant ce temps, ton pied pousse ma queue palpitante à une dureté extrême, et je peux sentir mon sous-vêtement devenir humide de précum. « Ooohhhh, Anne. Laisse-moi te faire jouir ! !! »
Je gémis en sentant ton visage pousser mon nylon dans ma chatte qui suinte maintenant régulièrement… Je frissonne et j’ai des spasmes quand ton visage frappe ma CUNT !…. Je soulève un peu mon cul et te demande de descendre mon tuyau avec tes dents… enlève-le… j’ai des projets pour lui… Je sens ta queue qui tressaute et je te branle fort pendant que je sens ton souffle sur mon clito chaud… je veux te faire jouir dans ton pantalon zippé….Je frotte plus vite et plus fort et je crie CUM FOR ME !
En respectant tes instructions, je détache la sangle de cheville de chaque talon et retire ton pied de tes chaussures. Je passe la main sous la ceinture de ton collant et le soulève pour que mes dents puissent l’agrafer. Avec un peu de difficulté, je réussis enfin à faire descendre ton collant de tes jambes. Je regarde avec excitation comment tu le retires complètement. Je replace tes chaussures sur tes pieds et halète lorsque ton pied frotte à nouveau ma queue à travers mon pantalon. Je pousse la culotte sur le côté et occupe ma langue dans ta fente, en taquinant ton clitoris. MMmmmmmmm….tes jus de chatte sont incroyablement doux et abondants !
Lorsque tu appuies ton pied contre ma queue palpitante, je peux sentir le sperme commencer à monter en pression. « AAAHHhhh…. va…. cummm…. OOoohhhhh…. FUCKKKkkkkk…. !!!!!! » Dans des spasmes frénétiques, ma queue explose, faisant jaillir le sperme en rythme énergique. Je peux sentir la chaleur du sperme s’accumuler dans mon caleçon et sur mon aine. Bientôt, alors que le sperme refroidit et devient plus liquide, je peux le sentir couler le long de mes cuisses.
Pendant que je jouis, ma langue plonge profondément dans ta chatte, allant et venant dans un mouvement de FUCKING. Mes gémissements étouffés de plaisir sont noyés par le bruit de succion humide de ma langue qui te FUCKING….. « Ohhhhh, Anne ! C’était un orgasme incroyable ! Je n’ai jamais éjaculé autant de sperme auparavant ! ». Ce qui est encore plus incroyable, c’est que ma queue commençait déjà à durcir, encore une fois !!! Je descends jusqu’à tes pieds et je caresse tes chaussures, et ma queue réagit à ta sexualité…
Je t’ordonne d’ouvrir ta fermeture éclair…seulement ta fermeture éclair !…alors que tu ouvres lentement ta fermeture éclair, je laisse un pied glisser dans ton pantalon. Je sens ta matière gluante et je frotte mes orteils pour faire mousser mes pieds et sentir ta queue. Finalement, je réussis à glisser mon pied collant sous ton caleçon et je jouis presque en atteignant ta queue. Tu as tellement joui que j’ai l’impression d’avoir les pieds dans de la gelée… Je le laisse se promener de haut en bas de ta queue et je chatouille ta tête avec mon orteil… Je retire à nouveau mon pied et tu peux voir qu’il est vraiment couvert de ton délicieux sperme. Je te demande de regarder le désordre que tu as fait… et je te demande de me passer les nylons… vas-tu lécher mon pied pour le nettoyer ? Si oui… lèche-le et regarde directement ma chatte… pendant que je prends le nylon… et d’une main, j’écarte les lèvres de ma chatte… avec l’autre… je pousse très lentement le nylon dans ma chatte….à chaque coup de langue sur mon pied, je pousse le nylon à l’intérieur…
J’ouvre docilement ma braguette et la tire largement, pour que tu puisses avoir accès à ma queue. Je fais glisser ton talon de ton pied… « OOOOHHHHHHhhh, » je gémis, alors que ton pied glisse à l’intérieur et atteint ma queue. En faisant glisser ton pied de haut en bas sur ma queue humide, mais légèrement raide, je peux sentir tes orteils se mouiller avec mon sperme. Quand tu retires ton pied, il dégouline de sperme et mes yeux s’ouvrent largement, surpris par la quantité de sperme sur tes orteils. N’ayant pas l’habitude de goûter le sperme, j’hésite d’abord à lécher ton pied, mais je suis tellement excitée et curieuse que je me plie à ton ordre. Je saisis doucement ton pied et le tire jusqu’à ma bouche. Ma langue douce commence à lécher légèrement tes orteils, notant le goût quelque peu salé/sucré du sperme. Tu écartes ta chatte et mon léchage devient plus intense, léchant même entre tes orteils, pour ne pas manquer une goutte. Tu commences à enfoncer ton collant dans ta chatte, et mon cœur bat furieusement et je commence à sucer chaque orteil avec voracité !!!
« Oh, Anne, » je murmure entre mes succions d’orteils, « tu m’as tellement CHAUD et HORNIE ! Commande-moi et regarde-moi obéir !!! ». Je regarde avec lubricité comment tu enfonces ton collant dans ta chatte, centimètre par centimètre. Alors que j’enviais le collant à cause de son emplacement, ma queue me signale qu’elle apprécie le spectacle. Ma langue lèche chaque orteil, puis se dirige vers ta semelle et lèche la longueur de ton pied pendant que mes mains caressent doucement ton pied…
Je peux voir tes yeux rivés sur ma chatte. Je frissonne violemment et CUMMMMMMMMM !!!!!!!!!!!!!!!. Je sais que tu peux me voir me trémousser et me secouer… en reprenant mon souffle, je sors le nylon… il est gluant et visqueux et entièrement imbibé de mes jus….. Je te demande de te lever et de sortir ta queue… Je veux enrouler le nylon autour d’elle….
Ma langue continue de goûter le sperme, mais une grande partie est partie, maintenant. Je suce profondément tes orteils en te regardant jouir, ton collant enfoncé à moitié dans ta chatte. « AAAannnnnnne….. » Je gémis de façon rauque. Puis, lorsque tu retires lentement le nylon de ton corps, il fait un bruit humide et glissant. Le tuyau froissé est imbibé de tes jus de chatte et je me lèche les lèvres avec excitation, en imaginant le goût qu’il aurait.
Ton ordre me réveille de ma transe, et je me lève comme demandé. Je passe la main dans ma braguette ouverte et sors ma bite dure, à nouveau excitée, de l’étroitesse de mon pantalon. Attrapant le collant dans ma main droite, je commence à l’enrouler autour de ma queue. OOooooooohhhhhhh….. c’est tellement sexy, la sensation de ton nylon – le nylon imbibé de jus de chatte – sur ma queue dure et palpitante. En l’enroulant autour de ma queue, je tire sur moi-même, sentant la douceur du nylon lorsque ma queue glisse à travers le tissu. Mon souffle commence à s’accélérer, à nouveau, et mon cœur bat la chamade.
« OOOoohhhh,Anne… Tu me donnes l’impression que je vais avoir besoin de jouir, encore, bientôt ! Je te donnerai tout le sperme de mes couilles…. ».
Je remarque que tu trembles et je suis déchiré… je devrais peut-être te laisser goûter les nylons et lécher ce qui a déteint de mes jus sur ta queue en ayant tellement envie de goûter ton sperme… je suis un pur désir maintenant et je suis prêt à le donner et à changer les rôles…. « Utilise-moi maintenant »… c’est tout ce que j’arrive à murmurer…
Sautant sur l’occasion de donner quelques ordres, je te dis, « Enlève ton nylon de ma bite. Maintenant, fais glisser ma queue dans le collant jusqu’à ce que ma queue soit au bout de la pointe du collant. » Le tissu en nylon s’enroule bien autour de ma queue gonflée, comme un caoutchouc en nylon. Le tissu scintille à cause de l’humidité des jus de ta chatte qui s’y trouvent encore. « Maintenant, Anne, suce ma queue avec ton tuyau enroulé autour. Fais en sorte que ma bite soit bien dure et utilise beaucoup de salive. Fais en sorte que ton tuyau soit bien mouillé. Quand tu auras fini, allonge-toi sur le dos sur mon bureau et prépare-toi à être FUCKÉE par ma bite avec sa gaine en nylon toujours autour d’elle. »
Je tremble encore mais j’avance pour ourdir ma bouche autour de ta queue. Je goûte mon propre jus et j’aimerais qu’il se mêle à ton sperme dans ma bouche alors je commence à t’enduire de ma salive jusqu’à ce que tout dégouline et je commence ensuite à laisser ma langue chatouiller sérieusement ton gland. J’ai tellement mal pour toi que je peux à peine me souvenir de ton souhait de me baiser alors je dois vraiment me rappeler à l’ordre. J’ai tellement chaud maintenant que je sens qu’une brise qui touche mon clito me fera jouir violemment. J’halète et je transpire, puis je m’allonge sur le dos en sentant mon propre jus couler le long de mes jambes ! Mon Dieu, je n’ai jamais été aussi mouillée et je n’ai jamais eu autant envie d’être baisée de toute ma vie…
Je t’allonge sur le dos sur mon bureau et je place tes pieds sur les bras de ma chaise pour que tes jambes soient écartées. Je me tiens entre tes jambes ouvertes et je regarde ta chatte rose chaude et dégoulinante. Ma bite oscille de haut en bas à cause des pulsations et des élancements. Ma queue, toujours couverte par le préservatif fait de tes bas de nylon, continue de suinter plus de précum, mouillant l’intérieur de tes bas de nylon. « Je suis désolé, Anne, du désordre collant dans et sur tes nylons ! ». Parce que tu as si bien sucé ma queue, elle est très humide et glissante à cause de ta salive.
Je saisis ma queue et la caresse de haut en bas de ta fente, en frottant doucement ton clitoris. « Tu aimes mon massage de la bite ? » Je demande d’un air lubrique. Je la frotte de haut en bas, de haut en bas. Pendant que je taquine ta chatte avec ma bite, tes jus sexuels gardent les nylons humides et lisses. « Je vais te FUCKER !!! » Je fais pénétrer ma queue à moitié dans ta chatte. « AAAaaaa…..oooohhhhh…. » Puis, d’une poussée ferme, j’enfonce ma bite profondément dans ta chatte. « Ooooohhhhh…goddddd !!! » Même si tes bas nylon diminuent quelque peu la sensation de ta chatte autour de ma queue, le glissement de ma queue contre tes bas nylon compense largement……
Avec chacune de tes poussées, je me sens plus près de perdre la tête il me semble que mon corps tout entier n’est rien d’autre qu’une chatte en feu maintenant je sens le nylon humide qui frotte les murs de ma chatte en pure folie et puis soudain ton toucher sur mes tétons hguuuuuuuuhhh ta langue sur mes orteils je crie et je transpire et je veux jouir si mal si mal je veux avoir ton sperme maintenant rien d’autre ! !!!!!!!!
Mon bassin pousse plus profondément et plus fort, enfonçant ma queue dans ta chatte. « AAaaaaa……Oh, Anne…..OOOooohhhh…. !!!!! » Alors que ma bite entre et sort de toi, le nylon humide qui glisse entre nous produit un bruit de frottement humide. Pendant que je te FUCK, je lève la main et caresse tes seins, en pinçant les mamelons. J’attrape ensuite tes jambes et les soulève pour qu’elles soient drapées sur mes épaules. Non seulement cela me permet d’avoir une pénétration plus profonde et plus dure dans ta chatte, mais je peux maintenant caresser tes pieds pendant que nous FUCK.
Je continue mon FUCKING, dans une profonde transe d’extase sexuelle. Je penche ma tête vers la droite et lèche tes orteils gauches. Je lèche délicatement chaque orteil, puis je les suce tous…
Avec une dernière poussée de ta queue, ma chatte semble soudain exploser. Je ne sens presque plus le spasme alors que j’aspire si fort que j’en oublie de respirer. Au début, j’ai presque envie de crier lorsque tu te retires. Mais je suis trop dans une brume orgasmique pour penser clairement et ta queue avec mon nylon dessus, ressemblant à des chiffons barbouillés, le jus de baise fouetté qui mousse dessus, me fait défaillir de désir pour ta queue et ton sperme. Je tombe facilement à genoux car mes jambes ne me retiennent plus de toute façon et, en transe, je tends la main vers ta queue. Mes lèvres se referment autour d’elle et avec mes dents, je retire les nylons. Ils sont collants et ne cèdent pas facilement mais finalement je vois ta queue et je baisse ma bouche dessus. J’ai failli jouir à nouveau lorsque la tête de ta queue a touché ma langue, si bien que j’ai pris mes talons et les ai frottés contre mon clito douloureux et j’ai joui à nouveau violemment, puis j’ai utilisé le talon maintenant humide pour chatouiller tes couilles. Je libère ta queue et j’entoure rapidement la tête avec ma langue et je te supplie de me donner ton sperme.
Le regard sur ton visage et la sensation de tes poussées contre moi me rendent fou de passion, et je pousse plus profondément et plus fort en toi. Pendant que je FUCK ta chatte serrée, chaude et humide, ma langue continue de lécher tes orteils, puis je fais courir mes langues de haut en bas sur tes plantes de pieds, savourant le goût salé de ta peau. « MMmmmmmm…..Anne, si délicieux ! »
Je sens ton corps trembler sous l’effet de l’orgasme, et c’est tout ce que je peux faire pour ne pas jouir, mais je serre les dents et refuse de jouir en toi. Je retire ma queue, le nylon étant toujours enroulé autour. Le nylon est trempé par les jus de la chatte. « Déballe ma queue et enlève les nylons qui l’entourent », ordonne-je. « Maintenant, agenouille-toi à mes pieds et suce ma queue. Attrape une de tes chaussures et masse mes couilles avec. Quand je jouis, je veux que tu attrapes le sperme dans et sur ta chaussure. »
Je sens enfin ta queue exploser et avec un dernier effort, je tourne ta queue vers mon talon et je vois comment la crème jaillit comme d’un tuyau. L’odeur frappe mon nez et je jouis en criant alors que ta queue gicle et remplit mon talon. Ma main te secoue fort et rapidement et j’attends que ta dernière goutte soit extraite et que tu ouvres à nouveau les yeux……
« AAAHhhhhhhh…. » La sensation de tes talons humides contre mes couilles fait palpiter et pulser ma queue. Et ta langue et ta bouche qui lèchent et sucent ma queue, c’est trop dur à supporter ! Je sens le sperme monter de mes couilles et s’accumuler dans ma queue. « Anne, » je murmure, « ma bite va exploser de sperme !!! Quand je jouirai, attrape la charge dans et sur ta chaussure ! Lave ma bite de tout le sperme avec ta main pour que tout le sperme soit délivré ! ». « AAArrrrrggggggg…. FUCKKKKKKK…vais…jouir…. !!!! » Avec ces derniers mots d’avertissement, ma queue crache une charge de sperme épais et blanc. Même moi, je suis surpris de la quantité, puisque j’avais déjà joui une fois ce soir ! « Traite ma queue, Bébé !!! Fais entrer le sperme dans et sur tes chaussures !!! OOooohhhhhhh…..aaaaaa…!!!! »
« OOOooooohhhh…..Annne….c’est si bon !!!!! » Je gémis alors que ma queue est prise de spasmes avec le sperme qui en sort librement. Les gouttes blanches et épaisses s’égouttent dans ta chaussure et commencent à couler sur la longueur du talon et dégouttent du talon pointu. Prenant ta chaussure, je commande : « Écarte tes jambes. » Ta chatte exposée, je prends la chaussure et frotte doucement le talon sur ton clitoris. Puis je fais délicatement glisser le talon, toujours dégoulinant de sperme, dans ta chatte. « As-tu déjà été baisée par le talon d’une chaussure ? » Je demande d’un air lubrique. Je commence à faire entrer et sortir le talon de ta chatte, et lorsque je le retire, le sperme et les jus de la chatte se mélangent sur le talon. Nos sucs sexuels imbibent totalement ton talon, et mes yeux s’écarquillent en regardant le talon humide et scintillant…..
Hésitante, je te donne la chaussure non sans avoir plongé ma langue dans le sperme et savouré le goût. Pendant que tu me baises avec le talon, je ne peux pas m’empêcher de jouir si fort que ça fait mal !!!!!!!!!!!!!.
Mes yeux brillent sauvagement en te regardant jouir alors que le talon glisse doucement, mais fermement dans et hors de ta chatte. À chaque coup de pied, je presse la chaussure contre ton clitoris. Lorsque tu jouis, j’appuie fortement la chaussure contre toi. Lorsque tes gémissements de plaisir sexuel s’apaisent, je retire le talon de ta chatte. Le mélange de ton jus de chatte et des restes de mon sperme dégouline sur le talon. Prenant la chaussure, je passe ma langue sur un côté du talon, savourant le mélange sexuel.
« MMMmmmmmmm…..Anne, c’est la meilleure friandise du soir que j’ai goûtée ! Veux-tu goûter ? Et, regarde ma queue. Elle est encore humide de sperme et de jus de chatte, aussi ! ». Je place la chaussure entre mes jambes. « Je veux que tu mettes ton visage entre mes jambes et que tu nettoies ton talon et ma queue avec ta bouche et ta langue. »
Je te vois et pourtant je ne te vois pas, je me sens comme en transe maintenant pour la luxure et le sperme… J’atteins le talon et le tiens haut, je te regarde dans les yeux, puis je laisse le sperme restant couler dans ma bouche avant de lécher le talon… Je tends la main vers toi, et d’un effort, je passe ma langue autour de ta queue qui m’a donné tant de plaisir et je la lèche proprement, en savourant le goût. Puis, épuisée, je semble sombrer dans le sommeil…