Le soleil couchant filtrait à travers les rideaux roses, taillant des éclats orangés sur le corps de Marie étendu dans l’herbe humide du jardin. Ses seins généreux se soulevaient avec une douceur hypnotique sous la dentelle fine de son débardeur. Son voisin, un jeune homme aux muscles crispés par l’excitation, avançait à genoux vers ses jambes écartées comme un prédateur étudiant sa proie. La main du garçon effleura le tissu de la culotte de Marie avant d’en explorer les plis moites, son doigt trouvant naturellement l’entrée brûlante et serrée de sa chatte rasée. Elle gémit, les paupières closes, tandis que ses seins s’écrasaient contre le sol et qu’une sueur glaciale lui parcourait la nuque.
Il recula pour admirer son visage en extase avant d’enfouir sa bouche dans son cou. Ses lèvres soudain pressèrent les globes de ses seins, aspirant le galbe de chaque mamelon avec une voracité nouvelle. Marie sentit le garçon se pencher davantage vers son intimité, sa langue s’insinuant à travers la toile du short de jardin que lui avait confié un mari absent. Lorsqu’il prit enfin ses seins dans ses mains pour les pétrir avec une violence émotionnelle, elle murmura son nom entre deux gémissements étouffés. Sa chatte palpitait sous le rythme saccadé de ses halètements.
Les doigts du jeune voisin pénétraient à présent sa chatte et son cul en même temps, leurs mouvements synchronisés par une envie féroce de la déchirer. Marie se cambra sous l’assaut des deux index qui s’enfonçaient dans ses moindres replis. Elle le supplia de continuer, ses mains crispées sur son sexe bandé, qu’elle caressa sans pudeur pour en libérer une première goutte de sperme. Lorsqu’il se redressa pour lui arracher son short et laisser apparaître sa chatte rose et entièrement glabre, il se mit à lécher les plis avec un désir presque bestial. Le cri qu’elle poussa renversa tout équilibre entre eux : le garçon bondit alors sur elle comme un fauve, ses mains enserrant ses seins gonflés pour mieux la plaquer au sol.
Il lui ôta son soutien-gorge et se mit à suçoter avec frénésie les mamelons tendus. Ses dents mordirent l’un des globes, et le plaisir de Marie redoubla, déclenchant un premier orgasme violent. Elle cria, sa main enserrant les cheveux du garçon pour guider ses baisers vers son sexe durci qui se dressait à présent comme un phare dans la pénombre. Le jeune voisin lécha sa queue avec une habileté nouvelle et Marie sentit la sueur perler entre ses seins, tandis que ses jambes s’entrelaçaient autour de lui pour l’attirer plus près.
Il se pencha vers son visage pour en explorer le cou avant d’enfouir sa bouche dans son sexe. Marie s’accrocha à ses cheveux, hurlant de plaisir entre deux gémissements rauques. La langue du garçon montait et descendait avec une précision diabolique, chaque coup de langue frôlant le gland pour mieux l’humecter avant de reculer vers la base de son sexe bandé. Ses doigts se mirent à presser ses testicules, et Marie sentit son cul se contracter spasmodiquement sous les attaques continues des dents du garçon.
Elle le supplia de continuer alors qu’il s’apprêtait à avaler l’éjaculation. « Ne t’arrête pas… », murmura-t-elle, son visage ruisselant de sueur. Le garçon obéit avec un râle bestial qui vibra entre ses dents serrées autour du gland tendu de Marie. Un premier jet jaillit dans sa bouche et il avala avec une rapidité étonnante pour son âge, les yeux fermés comme s’il redoutait de ne pas pouvoir tenir plus longtemps. La queue de Marie se mit à gicler entre ses lèvres, et le garçon gémit en sentant la chaleur du sperme se répandre dans sa gorge.
Il recula pour admirer son visage ensanglanté par la jouissance, ses seins tremblants sous les attaques continues des doigts qui s’enfonçaient à présent dans le creux de son dos. Marie sentit son ventre se contracter et une onde de plaisir se propager de son sexe jusqu’à ses orteils glacés. Elle se mordit la lèvre pour étouffer un cri, tandis que les doigts du garçon s’enfonçaient plus avant dans sa chatte. Il lui enfonçait à présent un troisième doigt et leva son regard vers Marie qui gémissait entre deux respirations hachées.
Elle se redressa lentement, ses seins ruisselant de sueur, pour l’embrasser avec une ferveur nouvelle. Le garçon lui saisit les cheveux et les enserra dans sa main droite, tandis que la gauche poursuivait son exploration du cul humide et étroit de Marie. Sa langue s’enfonça dans son trou dilaté, et le plaisir redoubla à chaque coup de bouche violent qui lui arrachait des cris stridents. « Oh mon dieu… », balbutia-t-elle entre deux gémissements acharnés.
Sa chatte s’ouvrit à lui sans résistance, accueillant son doigt et son pénis dans un mouvement synchrone qui le poussa à reculer pour regarder Marie se masturber avec sa propre queue. « Non… », protesta-t-elle en secouant la tête avant de se jeter sur ses seins et de les aspirer sans ménagement.
Le garçon s’enfonça dans son cul, ses doigts enserrés autour des cheveux de Marie. Il gémit à chaque pénétration, sa queue se dilatant pour occuper tout l’espace disponible entre ses fesses. « Je t’en supplie… », murmura-t-il avec une voix brisée par le plaisir.
Marie se mit à le masturber de nouveau et il redoubla d’efforts, son sperme giculant dans sa bouche en jets puissants et humides. Elle l’avala sans retenue, suçant la queue jusqu’à la dernière goutte avant de reculer pour admirer ses seins ensanglantés et sa chatte entièrement écartée par les doigts du garçon.
